Quand j’étais jeune, des représentants de commerce venaient parfois sonner à notre porte. Ils proposaient un aspirateur, un frigidaire, un robot ménager …
Je me souviens notamment, dans les années 70, de ceux qui proposaient le Larousse Universel ou l’Encyclopaedia Universalis.
Personnellement, j’avais craqué pour le Larousse, acheté à crédit car il coûtait plus d’un mois de salaire. Signe ostensible de ma culture, ses onze volumes encombrent toujours une de mes étagères, car je n’ai jamais su jeter des livres.